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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 20. Oktober 1813.

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avait, des la fin de 1810, elude les conditions,
augmenta des-lors ses armees, forma en 1811
des rassemblemens sur les frontieres de ses
provinces polonaises, et se trouva au com-
mencement de 1812 determinee et prete a la
guerre.

Le cabinet de Vienne se porta a quelques
demarches insignifiantes pour engager la Rus-
sie a la paix. Non-seulement, il n'eut point
a en faire aupres du Gouvernement francais
dont il connaissait les dispositions pacifiques,
mais ses ouvertures tendirent a un resultat
tout-a-fait oppose. Car si quelque chose pou-
vait faire peucher vers la guerre, c'etait qu'il
offrit de s'unir a nous contre nos ennemis, et
il proposa son alliance.

Par ce traite, l'Autriche confondit ses inte-
rets politiques avec ceux de la France dont
elle approuvait les principes, et auxquels elle
s'associait par une garantie sans reserve. Elle
s'engagea a fournir un contingent pour la
guerre: elle adhera d'avance au retablisse-
ment du royaume de Pologne, et, le cas arri-
vant, elle consentit a la cession de la Gallicie
autrichienne, a la condition d'une indemnite
dont les bases furent posees; elle s'assura en-
fin des aggrandissemens de territoire et le
partage des Etats qu'une guerre heureuse au-
rait mis a la disposition de la France. Tel
etait le but vers lequel tendait le cabinet de
Vienne. Empresse de susciter des ennemis a
la Russie, il pressa par ses agens la Porte Ot-
tomane, la Prusse et la Suede de faire cause
commune avec la France.

Ainsi, non-seulement il ne cherchait pas a
empecher la guerre, mais speculant sur elle,
il ne negligeait aucune des demarches qui, en
ajoutant a la securite de l'entreprise, devaient
porter la France a la tenter.

Mais rien n'ebranlait la volonte de l'Empe-
reur d'eviter la guerre, et il ne cessa d'espe-
rer d'y parvenir que le jour meme ou l'am-
bassadeur de Russie, par une declaration for-
melle, exigea comme Ultimatum, que les ar-
mees francaises, se retirant sur le Rhin, pris-
sent la fuite comme si elles avaient ete vain-
cues, et demanda ses passeports.

La guerre commenca; l'Autriche donna son
contingent, le composa de corps et de gene-
raux d'elite et depassa le nombre d'hommes
qu'elle avait pris l'engagement de fournir.

No. 1.

Articles separes et secrets du Traite d'alliance
entre la France et l'Autriche, du 14 Mars
1812.

Art. 1er. L'Autriche ne sera point tenue
de fournir le secours stipule par l'art. 4 du
traite patent, dans les guerres que la France
soutiendrait, ou contre l'Augleterre, ou au-
dela des Pyrenees.

2. Si la guerre vient a eclater entre la
France et la Russie, l'Autriche fournira ledit
secours stipule par les articles 4 et 5 du traite
de ce jour. Les regimens qui doivent le for-
mer, seront des a present mis en marche et

[Spaltenumbruch]

Armeen, zog im Jahre 1811 an den Gränzen sei-
ner Pohlnischen Provinzen Truppen zusammen,
und befand sich im Jahre 1812 zum Kriege ent-
schlossen und gerüstet.

Das Wiener Cabinet verstand sich zu einigen
nichtsbedeutenden Schritten, um Rußland zum
Frieden zu bewegen. Bey der Französischen Re-
gierung war es unnöthig, Schritte dieser Art zu
thun, da ihm ja die friedliche Stimmung derselben
zur Genüge bekannt war, und es machte ihr zudem
Eröffnungen, die ein ganz entgegen gesetztes Re-
sultat bezweckten; denn, wenn irgend etwas sie
zum Kriege hätte geneigt machen können, so wäre
es das Anerbieten gewesen, sich mit uns gegen
unsre Feinde zu verbinden; und es brachte würk-
lich eine Allianz in Vorschlag.

Durch diesen Tractat verschmolz Oesterreich sein
politisches Jnteresse mit dem Frankreichs, dessen
Grundsätzen es seine Billigung gab, und mit dem
es sich durch eine uneingeschränkte Garantie ver-
band. Es versprach ein Contingent für den Krieg
zu stellen; es stimmte vorläufig der Wiederherstel-
lung des Königreichs Pohlen bey, und willigte,
wenn der Fall einträte, in die Abtretung des
Oesterreichischen Gallizien unter Bedingung einer
Schadloshaltung, deren Grundlage bestimmt wurde;
es sicherte sich endlich Vergrößerungen seines
Grundgebiets und einen Antheil an den Provin-
zen, welche ein glücklicher Krieg zur Disposition
Frankreichs stellen würde. Dies waren die Zwecke,
welche das Wiener Cabinet im Auge hatte. Um
Rußland noch mehrere Feinde zu erwecken, forderte
es durch seine Agenten die Ottomannische Pforte,
Preußen und Schweden dringend auf, mit Frank-
reich gemeinschaftliche Sache zu machen.

So suchte es nicht allein nicht den Krieg zu ver-
hindern, sondern es speculirte würklich auf densel-
ben, und unterließ nichts, was den Erfolg des
Unternehmens sichern und Frankreich reizen konnte,
es zu wagen.

Nichts aber erschütterte den Entschluß des Kay-
sers, den Krieg zu vermeiden, und er gab die Hoff-
nung dazu erst an dem Tage auf, da der Rußische
Bothschafter durch eine förmliche Erklärung als
ein Ultimatum forderte, es follten die Französi-
schen Armeen, sich über den Rhein zurückziehend,
eine Flucht ergreifen, als wären sie besiegt, und
als er darauf seine Pässe verlangte.

Der Krieg fieng an, Oesterreich gab sein Con-
tingent, welches aus ausgesuchten Truppen und
Generals zusammengesetzt war, und gab selbst eine
stärkere Mannschaft, als es sich zu stellen verbind-
lich gemacht.

No. 1.

Separat- und geheime Artikel des Allianz-
Tractats zwischen Frankreich und Oester-
reich vom 14ten März
1812.

Art. 1. Oesterreich ist nicht gehalten, den im
4ten Artikel des Tractats stipulirten Beystand in
den Kriegen zu leisten, welchen Frankreich gegen
England oder jenseits der Pyrenäen zu führen ge-
nöthigt seyn möchte.

2. Wenn der Krieg zwischen Rußland und
Frankreich ausbrechen sollte, so soll Oesterreich den
in dem 4ten und 5ten Artikel des heutigen Trac-


[Spaltenumbruch]

avait, dès la fin de 1810, éludé les conditions,
augmenta dès-lors ses armées, forma en 1811
des rassemblemens sur les frontières de ses
provinces polonaises, et se trouva au com-
mencement de 1812 déterminée et prête à la
guerre.

Le cabinet de Vienne se porta à quelques
démarches insignifiantes pour engager la Rus-
sie à la paix. Non-seulement, il n’eut point
à en faire auprès du Gouvernement français
dont il connaissait les dispositions pacifiques,
mais ses ouvertures tendirent à un résultat
tout-à-fait opposé. Car si quelque chose pou-
vait faire peucher vers la guerre, c’était qu’il
offrit de s’unir à nous contre nos ennemis, et
il proposa son alliance.

Par ce traité, l’Autriche confondit ses inté-
rêts politiques avec ceux de la France dont
elle approuvait les principes, et auxquels elle
s’associait par une garantie sans réserve. Elle
s’engagea à fournir un contingent pour la
guerre: elle adhéra d’avance au rétablisse-
ment du royaume de Pologne, et, le cas arri-
vant, elle consentit à la cession de la Gallicie
autrichienne, à la condition d’une indemnité
dont les bases furent posées; elle s’assura en-
fin des aggrandissemens de territoire et le
partage des Etats qu’une guerre heureuse au-
rait mis à la disposition de la France. Tel
était le but vers lequel tendait le cabinet de
Vienne. Empressé de susciter des ennemis à
la Russie, il pressa par ses agens la Porte Ot-
tomane, la Prusse et la Suède de faire cause
commune avec la France.

Ainsi, non-seulement il ne cherchait pas à
empêcher la guerre, mais spéculant sur elle,
il ne négligeait aucune des démarches qui, en
ajoutant à la sécurité de l’entreprise, devaient
porter la France à la tenter.

Mais rien n’ébranlait la volonté de l’Empe-
reur d’éviter la guerre, et il ne cessa d’espé-
rer d’y parvenir que le jour méme où l’am-
bassadeur de Russie, par une déclaration for-
melle, exigea comme Ultimatum, que les ar-
mées françaises, se retirant sur le Rhin, pris-
sent la fuite comme si elles avaient été vain-
cues, et demanda ses passeports.

La guerre commença; l’Autriche donna son
contingent, le composa de corps et de géné-
raux d’élite et dépassa le nombre d’hommes
qu’elle avait pris l’engagement de fournir.

No. 1.

Articles séparés et secrets du Traité d’alliance
entre la France et l’Autriche, du 14 Mars
1812.

Art. 1er. L’Autriche ne sera point tenue
de fournir le secours stipulé par l’art. 4 du
traité patent, dans les guerres que la France
soutiendrait, ou contre l’Augleterre, ou au-
delà des Pyrénées.

2. Si la guerre vient à éclater entre la
France et la Russie, l’Autriche fournira ledit
secours stipulé par les articles 4 et 5 du traité
de ce jour. Les régimens qui doivent le for-
mer, seront dès à présent mis en marche et

[Spaltenumbruch]

Armeen, zog im Jahre 1811 an den Graͤnzen ſei-
ner Pohlniſchen Provinzen Truppen zuſammen,
und befand ſich im Jahre 1812 zum Kriege ent-
ſchloſſen und geruͤſtet.

Das Wiener Cabinet verſtand ſich zu einigen
nichtsbedeutenden Schritten, um Rußland zum
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gierung war es unnoͤthig, Schritte dieſer Art zu
thun, da ihm ja die friedliche Stimmung derſelben
zur Genuͤge bekannt war, und es machte ihr zudem
Eroͤffnungen, die ein ganz entgegen geſetztes Re-
ſultat bezweckten; denn, wenn irgend etwas ſie
zum Kriege haͤtte geneigt machen koͤnnen, ſo waͤre
es das Anerbieten geweſen, ſich mit uns gegen
unſre Feinde zu verbinden; und es brachte wuͤrk-
lich eine Allianz in Vorſchlag.

Durch dieſen Tractat verſchmolz Oeſterreich ſein
politiſches Jntereſſe mit dem Frankreichs, deſſen
Grundſaͤtzen es ſeine Billigung gab, und mit dem
es ſich durch eine uneingeſchraͤnkte Garantie ver-
band. Es verſprach ein Contingent fuͤr den Krieg
zu ſtellen; es ſtimmte vorlaͤufig der Wiederherſtel-
lung des Koͤnigreichs Pohlen bey, und willigte,
wenn der Fall eintraͤte, in die Abtretung des
Oeſterreichiſchen Gallizien unter Bedingung einer
Schadloshaltung, deren Grundlage beſtimmt wurde;
es ſicherte ſich endlich Vergroͤßerungen ſeines
Grundgebiets und einen Antheil an den Provin-
zen, welche ein gluͤcklicher Krieg zur Diſpoſition
Frankreichs ſtellen wuͤrde. Dies waren die Zwecke,
welche das Wiener Cabinet im Auge hatte. Um
Rußland noch mehrere Feinde zu erwecken, forderte
es durch ſeine Agenten die Ottomanniſche Pforte,
Preußen und Schweden dringend auf, mit Frank-
reich gemeinſchaftliche Sache zu machen.

So ſuchte es nicht allein nicht den Krieg zu ver-
hindern, ſondern es ſpeculirte wuͤrklich auf denſel-
ben, und unterließ nichts, was den Erfolg des
Unternehmens ſichern und Frankreich reizen konnte,
es zu wagen.

Nichts aber erſchuͤtterte den Entſchluß des Kay-
ſers, den Krieg zu vermeiden, und er gab die Hoff-
nung dazu erſt an dem Tage auf, da der Rußiſche
Bothſchafter durch eine foͤrmliche Erklaͤrung als
ein Ultimatum forderte, es follten die Franzoͤſi-
ſchen Armeen, ſich uͤber den Rhein zuruͤckziehend,
eine Flucht ergreifen, als waͤren ſie beſiegt, und
als er darauf ſeine Paͤſſe verlangte.

Der Krieg fieng an, Oeſterreich gab ſein Con-
tingent, welches aus ausgeſuchten Truppen und
Generals zuſammengeſetzt war, und gab ſelbſt eine
ſtaͤrkere Mannſchaft, als es ſich zu ſtellen verbind-
lich gemacht.

No. 1.

Separat- und geheime Artikel des Allianz-
Tractats zwiſchen Frankreich und Oeſter-
reich vom 14ten Maͤrz
1812.

Art. 1. Oeſterreich iſt nicht gehalten, den im
4ten Artikel des Tractats ſtipulirten Beyſtand in
den Kriegen zu leiſten, welchen Frankreich gegen
England oder jenſeits der Pyrenaͤen zu fuͤhren ge-
noͤthigt ſeyn moͤchte.

2. Wenn der Krieg zwiſchen Rußland und
Frankreich ausbrechen ſollte, ſo ſoll Oeſterreich den
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[[4]/0004] avait, dès la fin de 1810, éludé les conditions, augmenta dès-lors ses armées, forma en 1811 des rassemblemens sur les frontières de ses provinces polonaises, et se trouva au com- mencement de 1812 déterminée et prête à la guerre. Le cabinet de Vienne se porta à quelques démarches insignifiantes pour engager la Rus- sie à la paix. Non-seulement, il n’eut point à en faire auprès du Gouvernement français dont il connaissait les dispositions pacifiques, mais ses ouvertures tendirent à un résultat tout-à-fait opposé. Car si quelque chose pou- vait faire peucher vers la guerre, c’était qu’il offrit de s’unir à nous contre nos ennemis, et il proposa son alliance. Par ce traité, l’Autriche confondit ses inté- rêts politiques avec ceux de la France dont elle approuvait les principes, et auxquels elle s’associait par une garantie sans réserve. Elle s’engagea à fournir un contingent pour la guerre: elle adhéra d’avance au rétablisse- ment du royaume de Pologne, et, le cas arri- vant, elle consentit à la cession de la Gallicie autrichienne, à la condition d’une indemnité dont les bases furent posées; elle s’assura en- fin des aggrandissemens de territoire et le partage des Etats qu’une guerre heureuse au- rait mis à la disposition de la France. Tel était le but vers lequel tendait le cabinet de Vienne. Empressé de susciter des ennemis à la Russie, il pressa par ses agens la Porte Ot- tomane, la Prusse et la Suède de faire cause commune avec la France. Ainsi, non-seulement il ne cherchait pas à empêcher la guerre, mais spéculant sur elle, il ne négligeait aucune des démarches qui, en ajoutant à la sécurité de l’entreprise, devaient porter la France à la tenter. Mais rien n’ébranlait la volonté de l’Empe- reur d’éviter la guerre, et il ne cessa d’espé- rer d’y parvenir que le jour méme où l’am- bassadeur de Russie, par une déclaration for- melle, exigea comme Ultimatum, que les ar- mées françaises, se retirant sur le Rhin, pris- sent la fuite comme si elles avaient été vain- cues, et demanda ses passeports. La guerre commença; l’Autriche donna son contingent, le composa de corps et de géné- raux d’élite et dépassa le nombre d’hommes qu’elle avait pris l’engagement de fournir. No. 1. Articles séparés et secrets du Traité d’alliance entre la France et l’Autriche, du 14 Mars 1812. Art. 1er. L’Autriche ne sera point tenue de fournir le secours stipulé par l’art. 4 du traité patent, dans les guerres que la France soutiendrait, ou contre l’Augleterre, ou au- delà des Pyrénées. 2. Si la guerre vient à éclater entre la France et la Russie, l’Autriche fournira ledit secours stipulé par les articles 4 et 5 du traité de ce jour. Les régimens qui doivent le for- mer, seront dès à présent mis en marche et Armeen, zog im Jahre 1811 an den Graͤnzen ſei- ner Pohlniſchen Provinzen Truppen zuſammen, und befand ſich im Jahre 1812 zum Kriege ent- ſchloſſen und geruͤſtet. Das Wiener Cabinet verſtand ſich zu einigen nichtsbedeutenden Schritten, um Rußland zum Frieden zu bewegen. Bey der Franzoͤſiſchen Re- gierung war es unnoͤthig, Schritte dieſer Art zu thun, da ihm ja die friedliche Stimmung derſelben zur Genuͤge bekannt war, und es machte ihr zudem Eroͤffnungen, die ein ganz entgegen geſetztes Re- ſultat bezweckten; denn, wenn irgend etwas ſie zum Kriege haͤtte geneigt machen koͤnnen, ſo waͤre es das Anerbieten geweſen, ſich mit uns gegen unſre Feinde zu verbinden; und es brachte wuͤrk- lich eine Allianz in Vorſchlag. Durch dieſen Tractat verſchmolz Oeſterreich ſein politiſches Jntereſſe mit dem Frankreichs, deſſen Grundſaͤtzen es ſeine Billigung gab, und mit dem es ſich durch eine uneingeſchraͤnkte Garantie ver- band. Es verſprach ein Contingent fuͤr den Krieg zu ſtellen; es ſtimmte vorlaͤufig der Wiederherſtel- lung des Koͤnigreichs Pohlen bey, und willigte, wenn der Fall eintraͤte, in die Abtretung des Oeſterreichiſchen Gallizien unter Bedingung einer Schadloshaltung, deren Grundlage beſtimmt wurde; es ſicherte ſich endlich Vergroͤßerungen ſeines Grundgebiets und einen Antheil an den Provin- zen, welche ein gluͤcklicher Krieg zur Diſpoſition Frankreichs ſtellen wuͤrde. Dies waren die Zwecke, welche das Wiener Cabinet im Auge hatte. Um Rußland noch mehrere Feinde zu erwecken, forderte es durch ſeine Agenten die Ottomanniſche Pforte, Preußen und Schweden dringend auf, mit Frank- reich gemeinſchaftliche Sache zu machen. So ſuchte es nicht allein nicht den Krieg zu ver- hindern, ſondern es ſpeculirte wuͤrklich auf denſel- ben, und unterließ nichts, was den Erfolg des Unternehmens ſichern und Frankreich reizen konnte, es zu wagen. Nichts aber erſchuͤtterte den Entſchluß des Kay- ſers, den Krieg zu vermeiden, und er gab die Hoff- nung dazu erſt an dem Tage auf, da der Rußiſche Bothſchafter durch eine foͤrmliche Erklaͤrung als ein Ultimatum forderte, es follten die Franzoͤſi- ſchen Armeen, ſich uͤber den Rhein zuruͤckziehend, eine Flucht ergreifen, als waͤren ſie beſiegt, und als er darauf ſeine Paͤſſe verlangte. Der Krieg fieng an, Oeſterreich gab ſein Con- tingent, welches aus ausgeſuchten Truppen und Generals zuſammengeſetzt war, und gab ſelbſt eine ſtaͤrkere Mannſchaft, als es ſich zu ſtellen verbind- lich gemacht. No. 1. Separat- und geheime Artikel des Allianz- Tractats zwiſchen Frankreich und Oeſter- reich vom 14ten Maͤrz 1812. Art. 1. Oeſterreich iſt nicht gehalten, den im 4ten Artikel des Tractats ſtipulirten Beyſtand in den Kriegen zu leiſten, welchen Frankreich gegen England oder jenſeits der Pyrenaͤen zu fuͤhren ge- noͤthigt ſeyn moͤchte. 2. Wenn der Krieg zwiſchen Rußland und Frankreich ausbrechen ſollte, ſo ſoll Oeſterreich den in dem 4ten und 5ten Artikel des heutigen Trac-

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:00:34Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Die Ausgabe enthält französischsprachige Artikel.




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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 20. Oktober 1813, S. [4]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1682010_1813/4>, abgerufen am 18.04.2024.