Ball, Hugo: Zur Kritik der deutschen Intelligenz. Bern, 1919.
Rechts. ("Europeen Peace Institution", 1874 in "The Chronicle"). Freilich sind wir Deutsche an der Errichtung solcher Akademien mehr als alle anderen Völker interessiert. 193) G. Ch. Lichtenberg, Schriften, Bd. I, Literärische Bemer- kungen, S. 287. 194) "Enzyklopädie", § 482. 195) Ebendort, § 485/486. 196) "Von kommenden Dingen", S. 169/170. 197) "Zur Kritik der Zeit", S. Fischer, Berlin 1912, Der Mensch im Zeitalter der Mechanisierung und Entgermanisierung. 198) "Von kommenden Dingen", S. 18. 199) Charles Peguy ("De la situation faite au parti intellectuelle dans le monde moderne", Cahiers de la Quinzaine VIII/5, 1906) pflichtet mir bei, wenn er nicht nur die Trennung von Staat und Kirche empfiehlt, sondern auch die Trennung von Staat und Meta- physik. "Le parti intellectuel moderne a infiniment le droit d'avoir une metaphysique, une philosophie, une religion, une superstition tout aussi grossiere et aussi bete qu'il est necessaire pour leur faire plaisir. J'entends sinon le droit civique, du moins le droit social, politique, enfin le droit legal. Mais ce qui est en cause et ce dont il s'agit, ce qui est le debat, c'est de savoir si l'Etat moderne a le droit et si c'est son metier, son devoir, sa fonction, son office d'adopter cette metaphysique, de se l'assimiler, de l'imposer au monde en mettant a son service tous les enormes moyens de la gouvernementale force. Il n'y a pas de meta- physique universellement demontrable, et ainsi politiquement et socialement valable. Quand donc l'Etat, fabricant d'allumettes et de contraventions, comprendra-t-il que ce n'est point son affaire que de se faire philosophe et metaphysicien. Nous avons le desetablissement des Eglises. Quand aurons-nous le desetablis- sement de la metaphysique? Faudra-t-il que ce Monde sans Dieu, par un retournement que sans doute vous n'escomptiez pas, devienne a son tour un nouveau catechisme gouvernemental, enseigne par les gendarmes, avec la bienveillante collaboration de messieurs les gardiens de la paix?" ("Oeuvres choisies 1900 - 1910", Bernhard Grasset, Paris). Heute, wo die marxistische Staatsmetaphysik verzweifelte Anstrengungen macht, die Diktatur zu erlangen, sind diese Sätze eines früheren Freundes von Jean Jaures nicht genug zu beherzigen. 200) Franz von Baader, "Tagebücher", S. 113. Rechts. („Europeen Peace Institution“, 1874 in „The Chronicle“). Freilich sind wir Deutsche an der Errichtung solcher Akademien mehr als alle anderen Völker interessiert. 193) G. Ch. Lichtenberg, Schriften, Bd. I, Literärische Bemer- kungen, S. 287. 194) „Enzyklopädie“, § 482. 195) Ebendort, § 485/486. 196) „Von kommenden Dingen“, S. 169/170. 197) „Zur Kritik der Zeit“, S. Fischer, Berlin 1912, Der Mensch im Zeitalter der Mechanisierung und Entgermanisierung. 198) „Von kommenden Dingen“, S. 18. 199) Charles Péguy („De la situation faite au parti intellectuelle dans le monde moderne“, Cahiers de la Quinzaine VIII/5, 1906) pflichtet mir bei, wenn er nicht nur die Trennung von Staat und Kirche empfiehlt, sondern auch die Trennung von Staat und Meta- physik. „Le parti intellectuel moderne a infiniment le droit d'avoir une metaphysique, une philosophie, une religion, une superstition tout aussi grossière et aussi bête qu'il est nécessaire pour leur faire plaisir. J'entends sinon le droit civique, du moins le droit social, politique, enfin le droit légal. Mais ce qui est en cause et ce dont il s'agit, ce qui est le débat, c'est de savoir si l'Etat moderne a le droit et si c'est son métier, son devoir, sa fonction, son office d'adopter cette métaphysique, de se l'assimiler, de l'imposer au monde en mettant à son service tous les énormes moyens de la gouvernementale force. Il n'y a pas de méta- physique universellement démontrable, et ainsi politiquement et socialement valable. Quand donc l'Etat, fabricant d'allumettes et de contraventions, comprendra-t-il que ce n'est point son affaire que de se faire philosophe et métaphysicien. Nous avons le désétablissement des Eglises. Quand aurons-nous le désétablis- sement de la métaphysique? Faudra-t-il que ce Monde sans Dieu, par un retournement que sans doute vous n'escomptiez pas, devienne à son tour un nouveau catéchisme gouvernemental, enseigné par les gendarmes, avec la bienveillante collaboration de messieurs les gardiens de la paix?“ („Oeuvres choisies 1900 - 1910“, Bernhard Grasset, Paris). Heute, wo die marxistische Staatsmetaphysik verzweifelte Anstrengungen macht, die Diktatur zu erlangen, sind diese Sätze eines früheren Freundes von Jean Jaurès nicht genug zu beherzigen. 200) Franz von Baader, „Tagebücher“, S. 113. <TEI> <text> <body> <div n="1"> <div n="2"> <div n="3"> <note xml:id="id192b192b" prev="id192b" place="end" n="192)"><pb facs="#f0279" n="271"/> Rechts. („Europeen Peace Institution“, 1874 in „The Chronicle“).<lb/> Freilich sind wir Deutsche an der Errichtung solcher Akademien<lb/> mehr als alle anderen Völker interessiert.</note><lb/> <note xml:id="id193b193b" prev="id193b" place="end" n="193)"> G. Ch. Lichtenberg, Schriften, Bd. 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¹⁹²⁾ Rechts. („Europeen Peace Institution“, 1874 in „The Chronicle“).
Freilich sind wir Deutsche an der Errichtung solcher Akademien
mehr als alle anderen Völker interessiert.
¹⁹³⁾ G. Ch. Lichtenberg, Schriften, Bd. I, Literärische Bemer-
kungen, S. 287.
¹⁹⁴⁾ „Enzyklopädie“, § 482.
¹⁹⁵⁾ Ebendort, § 485/486.
¹⁹⁶⁾ „Von kommenden Dingen“, S. 169/170.
¹⁹⁷⁾ „Zur Kritik der Zeit“, S. Fischer, Berlin 1912, Der Mensch
im Zeitalter der Mechanisierung und Entgermanisierung.
¹⁹⁸⁾ „Von kommenden Dingen“, S. 18.
¹⁹⁹⁾ Charles Péguy („De la situation faite au parti intellectuelle
dans le monde moderne“, Cahiers de la Quinzaine VIII/5, 1906)
pflichtet mir bei, wenn er nicht nur die Trennung von Staat und
Kirche empfiehlt, sondern auch die Trennung von Staat und Meta-
physik. „Le parti intellectuel moderne a infiniment le droit d'avoir une
metaphysique, une philosophie, une religion, une superstition
tout aussi grossière et aussi bête qu'il est nécessaire pour leur
faire plaisir. J'entends sinon le droit civique, du moins le droit
social, politique, enfin le droit légal. Mais ce qui est en cause
et ce dont il s'agit, ce qui est le débat, c'est de savoir si l'Etat
moderne a le droit et si c'est son métier, son devoir, sa fonction,
son office d'adopter cette métaphysique, de se l'assimiler, de
l'imposer au monde en mettant à son service tous les énormes
moyens de la gouvernementale force. Il n'y a pas de méta-
physique universellement démontrable, et ainsi politiquement et
socialement valable. Quand donc l'Etat, fabricant d'allumettes
et de contraventions, comprendra-t-il que ce n'est point son affaire
que de se faire philosophe et métaphysicien. Nous avons le
désétablissement des Eglises. Quand aurons-nous le désétablis-
sement de la métaphysique? Faudra-t-il que ce Monde sans Dieu,
par un retournement que sans doute vous n'escomptiez pas,
devienne à son tour un nouveau catéchisme gouvernemental,
enseigné par les gendarmes, avec la bienveillante collaboration
de messieurs les gardiens de la paix?“ („Oeuvres choisies 1900
- 1910“, Bernhard Grasset, Paris). Heute, wo die marxistische
Staatsmetaphysik verzweifelte Anstrengungen macht, die Diktatur
zu erlangen, sind diese Sätze eines früheren Freundes von Jean
Jaurès nicht genug zu beherzigen.
²⁰⁰⁾ Franz von Baader, „Tagebücher“, S. 113.
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