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Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850.

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Sonnenbilder zu geben. Mein Freund hat sich, während meines langen Aufenthalts auf der Pariser Sternwarte, dieses Mittels mit vielem Vortheil statt der Blendgläser bei Beobachtung von Sonnenfinsternissen und Sonnenflecken bedient. Man wählt: Roth mit Grün, Gelb mit Blau, Grün mit Violett. "Lorsqu' une lumiere forte se trouve aupres d'une lumiere faible, la derniere prend la teinte complementaire de la premiere. C'est la le contraste: mais comme le rouge n'est presque jamais pur, on peut tout aussi bien dire que le rouge est complementaire du bleu. Les couleurs voisines du Spectre solaire se substituent." (Arago, Handschr. von 1847.)
20 (S. 299.) Arago in der Connaissance des tems pour l'an 1828 p. 299-300; in dem Annuaire pour 1834 p. 246-250, pour 1842 p. 347-350. "Les exceptions que je cite, prouvent que j'avais bien raison en 1825 de n'introduire la notion physique du contraste dans la question des etoiles doubles qu'avec la plus grande reserve. Le bleu est la couleur reelle de certaines etoiles. II resulte des observations recueillies jusqu' ici que le sirmament est non seulement parseme de soleils rouges et jaunes, comme le savaient les anciens, mais encore de soleils bleus et verts. C'est au tems et a des observations futures a nous apprendre si les etoiles vertes et bleues ne sont pas des soleils deja en voie de decroissance; si les differentes nuances de ces astres n'indiquent pas que la combustion s'y opere a differens degres; si la teinte, avec exces de rayons les plus refrangibles, que presente souvent la petite etoile, ne tiendrait pas a la force absorbante d'une atmosphere que developperait l'action de l'etoile, ordinairement beaucoup plus brillante, qu'elle accompagne." (Arago im Annuaire pour 1834 p. 295-301.)
21 (S. 299.) Struve (über Doppelsterne nach Dorpater Beobachtungen 1837 S. 33-36 und Mensurae microm. p. LXXXIII) zählt 63 Sternpaare auf, in denen beide Sterne blau oder bläulich sind und bei denen also die Farbe nicht Folge des Contrastes sein kann. Wenn man gezwungen ist die Farben-Angaben desselben Sternpaares von verschiedenen Beobachtern mit einander zu vergleichen; so wird es besonders auffallend, wie oft der Begleiter eines rothen oder gelbrothen Hauptsternes
Sonnenbilder zu geben. Mein Freund hat sich, während meines langen Aufenthalts auf der Pariser Sternwarte, dieses Mittels mit vielem Vortheil statt der Blendgläser bei Beobachtung von Sonnenfinsternissen und Sonnenflecken bedient. Man wählt: Roth mit Grün, Gelb mit Blau, Grün mit Violett. »Lorsqu' une lumière forte se trouve auprès d'une lumière faible, la dernière prend la teinte complèmentaire de la première. C'est là le contraste: mais comme le rouge n'est presque jamais pur, on peut tout aussi bien dire que le rouge est complémentaire du bleu. Les couleurs voisines du Spectre solaire se substituent.« (Arago, Handschr. von 1847.)
20 (S. 299.) Arago in der Connaissance des tems pour l'an 1828 p. 299–300; in dem Annuaire pour 1834 p. 246–250, pour 1842 p. 347–350. »Les exceptions que je cite, prouvent que j'avais bien raison en 1825 de n'introduire la notion physique du contraste dans la question des étoiles doubles qu'avec la plus grande réserve. Le bleu est la couleur réelle de certaines étoiles. II résulte des observations recueillies jusqu' ici que le sirmament est non seulement parsemé de soleils rouges et jaunes, comme le savaient les anciens, mais encore de soleils bleus et verts. C'est au tems et à des observations futures à nous apprendre si les étoiles vertes et bleues ne sont pas des soleils déjà en voie de décroissance; si les différentes nuances de ces astres n'indiquent pas que la combustion s'y opère à différens degrés; si la teinte, avec excès de rayons les plus réfrangibles, que présente souvent la petite étoile, ne tiendrait pas à la force absorbante d'une atmosphère que développerait l'action de l'étoile, ordinairement beaucoup plus brillante, qu'elle accompagne.« (Arago im Annuaire pour 1834 p. 295–301.)
21 (S. 299.) Struve (über Doppelsterne nach Dorpater Beobachtungen 1837 S. 33–36 und Mensurae microm. p. LXXXIII) zählt 63 Sternpaare auf, in denen beide Sterne blau oder bläulich sind und bei denen also die Farbe nicht Folge des Contrastes sein kann. Wenn man gezwungen ist die Farben-Angaben desselben Sternpaares von verschiedenen Beobachtern mit einander zu vergleichen; so wird es besonders auffallend, wie oft der Begleiter eines rothen oder gelbrothen Hauptsternes
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[309/0314] ¹⁹ Sonnenbilder zu geben. Mein Freund hat sich, während meines langen Aufenthalts auf der Pariser Sternwarte, dieses Mittels mit vielem Vortheil statt der Blendgläser bei Beobachtung von Sonnenfinsternissen und Sonnenflecken bedient. Man wählt: Roth mit Grün, Gelb mit Blau, Grün mit Violett. »Lorsqu' une lumière forte se trouve auprès d'une lumière faible, la dernière prend la teinte complèmentaire de la première. C'est là le contraste: mais comme le rouge n'est presque jamais pur, on peut tout aussi bien dire que le rouge est complémentaire du bleu. Les couleurs voisines du Spectre solaire se substituent.« (Arago, Handschr. von 1847.) ²⁰ (S. 299.) Arago in der Connaissance des tems pour l'an 1828 p. 299–300; in dem Annuaire pour 1834 p. 246–250, pour 1842 p. 347–350. »Les exceptions que je cite, prouvent que j'avais bien raison en 1825 de n'introduire la notion physique du contraste dans la question des étoiles doubles qu'avec la plus grande réserve. Le bleu est la couleur réelle de certaines étoiles. II résulte des observations recueillies jusqu' ici que le sirmament est non seulement parsemé de soleils rouges et jaunes, comme le savaient les anciens, mais encore de soleils bleus et verts. C'est au tems et à des observations futures à nous apprendre si les étoiles vertes et bleues ne sont pas des soleils déjà en voie de décroissance; si les différentes nuances de ces astres n'indiquent pas que la combustion s'y opère à différens degrés; si la teinte, avec excès de rayons les plus réfrangibles, que présente souvent la petite étoile, ne tiendrait pas à la force absorbante d'une atmosphère que développerait l'action de l'étoile, ordinairement beaucoup plus brillante, qu'elle accompagne.« (Arago im Annuaire pour 1834 p. 295–301.) ²¹ (S. 299.) Struve (über Doppelsterne nach Dorpater Beobachtungen 1837 S. 33–36 und Mensurae microm. p. LXXXIII) zählt 63 Sternpaare auf, in denen beide Sterne blau oder bläulich sind und bei denen also die Farbe nicht Folge des Contrastes sein kann. Wenn man gezwungen ist die Farben-Angaben desselben Sternpaares von verschiedenen Beobachtern mit einander zu vergleichen; so wird es besonders auffallend, wie oft der Begleiter eines rothen oder gelbrothen Hauptsternes

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Zitationshilfe: Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850, S. 309. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/humboldt_kosmos03_1850/314>, abgerufen am 23.11.2024.