Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 4. Stuttgart u. a., 1858.
77 (S. 264.) Blume, Rumphia sive Commentationes botanicae T. I. (1835) p. 47-59. 78 (S. 265.) Humboldt, Essai geognostique sur le gisement des Roches dans les deux Hemispheres 1823 p. 76; Boussingault in den Annales de Chimie et de Physique T. LII. 1833 p. 11. 79 (S. 266.) S. über die Höhe von Alausi (bei Ticsan) am Cerro Cuello das Nivellement barometr. No. 206 in meinen Observ. astron. Vol. I. p. 311. 80 (S. 266.) "L'existence d'une source de naphte, sortant au fond de la mer d'un micaschiste grenatifere, et repandant, selon l'expression d'un historien de la Conquista, Oviedo, une "liqueur resineuse, aromatique et medicinale"; est un fait extremement remarquable. Toutes celles que l'on connaeit jusqu'ici, appartiennent aux montagnes secondaires; et ce mode de gisement semblait favoriser l'idee que tous les bitumes mineraux (Hatchett dans les Transact. of the Linnaean Society 1798 p. 129) etaient dus a la destruction des matieres vegetales et animales ou a l'embrasement des houilles. Le phenomene du Golfe de Cariaco acquiert une nouvelle importance, si l'on se rappelle que le meme terrain dit primitif renferme des feux souterrains, qu'au bord des crateres enflammes l'odeur de petrole se fait sentir de tems en tems (p. e. dans l'eruption du Vesuve 1805, lorsque le Volcan lancait des scories), et que la plupart des sources tres chaudes de l'Amerique du Sud sortent du granite (las Trincheras pres de Portocabello), du gneis et du schiste micace. -- Plus a l'est du meridien de Cumana, en descendant de la Sierra de Meapire, on rencontre d'abord le terrain creux (tierra hueca) qui, pendant les grands tremblemens de terre de 1766 a jete de l'asphalte enveloppe dans du petrole visqueux; et puis au-dela de ce terrain une infinite de sources chaudes hydrosulfureuses." (Humboldt, Relat. hist. du Voyage aux Regions equin. T. I. p. 136, 344, 347 und 447.) 81 (S. 269.) Kosmos Bd. I. S. 244. 82 (S. 270.) Strabo I pag. 58 Casaub. Das Beiwort diapuros beweist, daß hier nicht von Schlamm-Vulkanen die Rede ist. Wo auf diese Plato in seinen geognostischen Phantasien anspielt, Mythisches mit Beobachtetem vermischend, sagt er bestimmt 77 (S. 264.) Blume, Rumphia sive Commentationes botanicae T. I. (1835) p. 47–59. 78 (S. 265.) Humboldt, Essai géognostique sur le gisement des Roches dans les deux Hémisphères 1823 p. 76; Boussingault in den Annales de Chimie et de Physique T. LII. 1833 p. 11. 79 (S. 266.) S. über die Höhe von Alausi (bei Ticsan) am Cerro Cuello das Nivellement barométr. No. 206 in meinen Observ. astron. Vol. I. p. 311. 80 (S. 266.) »L'existence d'une source de naphte, sortant au fond de la mer d'un micaschiste grenatifère, et répandant, selon l'expression d'un historien de la Conquista, Oviedo, une »liqueur résineuse, aromatique et médicinale«; est un fait extrêmement remarquable. Toutes celles que l'on connaît jusqu'ici, appartiennent aux montagnes secondaires; et ce mode de gisement semblait favoriser l'idée que tous les bitumes minéraux (Hatchett dans les Transact. of the Linnaean Society 1798 p. 129) étaient dus à la destruction des matières végétales et animales ou à l'embrasement des houilles. Le phénomène du Golfe de Cariaco acquiert une nouvelle importance, si l'on se rappelle que le même terrain dit primitif renferme des feux souterrains, qu'au bord des cratères enflammés l'odeur de pètrole se fait sentir de tems en tems (p. e. dans l'éruption du Vésuve 1805, lorsque le Volcan lançait des scories), et que la plupart des sources très chaudes de l'Amérique du Sud sortent du granite (las Trincheras près de Portocabello), du gneis et du schiste micacé. — Plus à l'est du méridien de Cumana, en descendant de la Sierra de Meapire, on rencontre d'abord le terrain creux (tierra hueca) qui, pendant les grands tremblemens de terre de 1766 a jeté de l'asphalte enveloppé dans du pétrole visqueux; et puis au-delà de ce terrain une infinité de sources chaudes hydrosulfureuses.« (Humboldt, Relat. hist. du Voyage aux Régions équin. T. I. p. 136, 344, 347 und 447.) 81 (S. 269.) Kosmos Bd. I. S. 244. 82 (S. 270.) Strabo I pag. 58 Casaub. Das Beiwort διάπυρος beweist, daß hier nicht von Schlamm-Vulkanen die Rede ist. Wo auf diese Plato in seinen geognostischen Phantasien anspielt, Mythisches mit Beobachtetem vermischend, sagt er bestimmt <TEI> <text> <body> <div n="1"> <div n="2"> <div n="3"> <div n="4"> <div n="5"> <div n="6"> <pb facs="#f0519" n="514"/> <note xml:id="ftn301-text" prev="#ftn301" place="end" n="77"> (S. 264.) <hi rendition="#g">Blume, Rumphia sive Commentationes botanicae</hi> T. I. (1835) p. 47–59.</note> <note xml:id="ftn302-text" prev="#ftn302" place="end" n="78"> (S. 265.) <hi rendition="#g">Humboldt, Essai géognostique sur le gisement des Roches dans les deux Hémisphères</hi> 1823 p. 76; <hi rendition="#g">Boussingault</hi> in den <hi rendition="#g">Annales de Chimie et de Physique</hi> T. LII. 1833 p. 11.</note> <note xml:id="ftn303-text" prev="#ftn303" place="end" n="79"> (S. 266.) S. über die Höhe von Alausi (bei Ticsan) am Cerro Cuello das Nivellement barométr. 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⁷⁷ (S. 264.) Blume, Rumphia sive Commentationes botanicae T. I. (1835) p. 47–59.
⁷⁸ (S. 265.) Humboldt, Essai géognostique sur le gisement des Roches dans les deux Hémisphères 1823 p. 76; Boussingault in den Annales de Chimie et de Physique T. LII. 1833 p. 11.
⁷⁹ (S. 266.) S. über die Höhe von Alausi (bei Ticsan) am Cerro Cuello das Nivellement barométr. No. 206 in meinen Observ. astron. Vol. I. p. 311.
⁸⁰ (S. 266.) »L'existence d'une source de naphte, sortant au fond de la mer d'un micaschiste grenatifère, et répandant, selon l'expression d'un historien de la Conquista, Oviedo, une »liqueur résineuse, aromatique et médicinale«; est un fait extrêmement remarquable. Toutes celles que l'on connaît jusqu'ici, appartiennent aux montagnes secondaires; et ce mode de gisement semblait favoriser l'idée que tous les bitumes minéraux (Hatchett dans les Transact. of the Linnaean Society 1798 p. 129) étaient dus à la destruction des matières végétales et animales ou à l'embrasement des houilles. Le phénomène du Golfe de Cariaco acquiert une nouvelle importance, si l'on se rappelle que le même terrain dit primitif renferme des feux souterrains, qu'au bord des cratères enflammés l'odeur de pètrole se fait sentir de tems en tems (p. e. dans l'éruption du Vésuve 1805, lorsque le Volcan lançait des scories), et que la plupart des sources très chaudes de l'Amérique du Sud sortent du granite (las Trincheras près de Portocabello), du gneis et du schiste micacé. — Plus à l'est du méridien de Cumana, en descendant de la Sierra de Meapire, on rencontre d'abord le terrain creux (tierra hueca) qui, pendant les grands tremblemens de terre de 1766 a jeté de l'asphalte enveloppé dans du pétrole visqueux; et puis au-delà de ce terrain une infinité de sources chaudes hydrosulfureuses.« (Humboldt, Relat. hist. du Voyage aux Régions équin. T. I. p. 136, 344, 347 und 447.)
⁸¹ (S. 269.) Kosmos Bd. I. S. 244.
⁸² (S. 270.) Strabo I pag. 58 Casaub. Das Beiwort διάπυρος beweist, daß hier nicht von Schlamm-Vulkanen die Rede ist. Wo auf diese Plato in seinen geognostischen Phantasien anspielt, Mythisches mit Beobachtetem vermischend, sagt er bestimmt
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