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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 167, Hamburg, 17. Oktober 1812.

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en bois etc. Des cordes souffrees communi-
quaient au dehors, et recevaient le feu, qui
penetrait ainsi, a la fois, dans toutes les ma-
tieres preparees.

Les Satellites de Rustopschin lancaient des
fusees incendiaires sur les maisons, ou des
foyers n'avaient point ete etablis.

C'es a travers ces hideux preparatifs, qu'un
marchand de Moscou, nomme Werstiaguine,
arrete, il y a quelques mois, pour avoir im-
prudemment pronostique la conquete de la
capitale par les armes de Napoleon, a ete ex-
trait des cachots et amene dans la cour du
gouvernement.

On cherchait son pere, pour le rendre te-
moin du plus barbare sacrifice. Ce vieillard
s'etait cache.

L'infortunee victime a ete livree a la sol-
datesque. Son cadavre trouve par l'armee
francaise, au lieu meme du supplice, annon-
cait le rafinement des maux, qu'il aura
souffert.

Apres le recit de tant de malheurs, il est
consolant de pouvoir rassurer sur le sort
d'une population nombreuse, dont la magna-
nimite du vainqueur a garanti l'existence et
satisfait les besoins.

Des municipalites sont etablies dans Mos-
sou. Les greniers, auxquels les chauffeurs,
dans leur rage delirante, n'ont point songe,
sont pleins, et suffiront pour six mois aux
subsistances de l'armee et des habitans.

D'autres ressources se decouvrent chaque
jour. Une administration econome, eclairee,
paternelle, en dirige l'emploi, la repartition,
et par la en double les quantites.

Les paysans, les bourgeois entraeines par
les armees russes, rentrent en foule dans
leurs foyers.

Moscou offre l'etrange et unique spectacle
de la civilisation renaissant a travers les rui-
nes, et des bienfaits de la paix, apportes par
les conquerants.


Voici une courte notice sur le general comte
Louis de Montbrun, tue a la bataille de Mos-
kowa. Fils d'un ancien militaire, il etait en-
tre trois ans avant la revolution, et en ayant
a peine dix-sept, comme simple soldat, dans
le 7e regiment de chasseurs a cheval, dont il
devint colonel en passant par tous les grades.
Depuis cette epoque, il n'avait pas cesse
d'etre en activite. Couvert de blessures, tou-
jours remarque, toujours cite dans les cam-
pagnes glorieuses de l'Empereur, pour sa bra-
voure et ses talens, on ne peut payer un plus
bean tribut a sa memoire qu'en disant qu'a-
pres la bataille de Wagram, ou il servit en
qualite de general de division, S. M. le mit
a la tete de toute la cavallerie de l'armee de
Portugal, et qu'elle le rappela pres d'elle pour
commander le 2e corps de reserve de cavale-
rie a la grande armee.

Frappe d'un boulet de canon, il survecut a
se coup horrible. Pendant six heures, il

[Spaltenumbruch]

Feuer, welches so auf einmal zu allen vorbereite-
ten Materialien drang.

Die Helfershelfer von Rostopschin warfen Brand-
raketen auf diejenigen Häuser, in denen man keine
feuerfangende Sachen angebracht hatte.

Bey diesen scheußlichen Anstalten ward ein Kauf-
mann zu Moscau, Namens Werstiaguine, der
einige Monate vorher arretirt worden, weil er die
Eroberung dieser Stadt durch die Wassen Napo-
leons unvorsichtigerweise vorausgesagt, aus dem
Gefängnisse geholt und nach dem Regierungs-Platz
geschleppt.

Man suchte seinen Vater auf, um diesen zum
Zeugen der barbarischsten Aufopferung zu machen.
Dieser Greis aber hatte sich versteckt.

Das unglückliche Schlachtopfer ward der Sol-
dateske überliefert. Sein Leichnam, den die Fran-
zösische Armee an dem Orte der Hinrichtung ge-
funden, zeigte das Raffinement der Quaalen an,
die er erlitten haben muß.

Nach der Erzählung von so vielem Unglück, ist
es tröstend, sich über das Schicksal einer zahlrei-
chen Volksmenge beruhigen zu können, deren Exi-
stenz die Edelmuth des Siegers garantirt und
ihren Bedürfnissen abgeholfen hat.

Es sind nunmehr Municipalitäten in Moscau
errichtet. Die Kornspeicher, an welche die Brand-
stifter in ihrer rasenden Wuth nicht gedacht hat-
ten, sind voll und reichen auf ein halbes Jahr zum
Unterhalt der Armee und der Einwohner hin.

Andere Hülfsquellen werden täglich entdeckt.
Eine öconomische, aufgeklärte und väterliche Ad-
ministration leitet die Anwendung und Ver-
theilung derselben und verdoppelt dadurch ihre
Quantität.

Die Bauern und Bürger, die von der Rußischen
Armee fortgeschleppt wurden, kehren haufenweise
nach ihrer Heymath zurück.

Mosca[u] bietet das besondere und einzige Schau-
spiel der Civilisation, die aus den Trümmern wie-
der hervorgeht, und der Wohlthaten des Friedens
dar, die von den Eroberern überbracht worden.


Folgendes ist eine kurze Notiz über den Gene-
ral, Grafen Lo[u]is de Montbrun, der in der
Schlacht an der Moskwa getödtet worden; Als
Sohn eines vormaligen Militairs war er 3 Jahre
vor der Revolution und kaum 17 Jahr alt als ge-
meiner Soldat in das 7te Regiment Jäger zu
Pferde getreten, wovon er Oberst wurde, indem er
alle Grade durchgieng. Seit dieser Zeit war er
stets in Thätigkeit gewesen. Bedeckt mit Wun-
den, stets bemerkt, stets angeführt in den glor-
reichen Feldzügen des Kaysers, wegen seiner Bra-
vo[u]r und seiner Talente, kann man seinem Anden-
ken keinen gerechtern Tribut zollen, als wenn man
anführt, daß ihn Se. Majestät nach der Schlacht
von Wagram, wo er als Divisions-General diente,
an die Spitze der gesammten Cavallerie der Armee
von Portugall stellte, und ihn zu sich beriefen, um
das 2te Reserve-Corps der Cavallerie bey der großen
Armee zu commandiren.

Von einer Kanonenkugel getroffen, überlebte er die-
sen fürchterlichen Schlag 6 Stunden; hiedurch
empfand er und gab den für einen tapfern Mann

[Spaltenumbruch]

en bois etc. Des cordes souffrées communi-
quaient au déhors, et recevaient le feu, qui
pénétrait ainsi, à la fois, dans toutes les ma-
tieres préparées.

Les Satellites de Rustopschin lançaient des
fusées incendiaires sur les maisons, où des
foyers n’avaient point été établis.

C’es à travers ces hideux préparatifs, qu’un
marchand de Moscou, nommé Werstiaguine,
arrêté, il y a quelques mois, pour avoir im-
prudemment pronostiqué la conquête de la
capitale par les armes de Napoléon, a été ex-
trait des cachots et amené dans la cour du
gouvernement.

On cherchait son père, pour le rendre te-
moin du plus barbare sacrifice. Ce vieillard
s’était caché.

L’infortunée victime a été livrée à la sol-
datesque. Son cadavre trouvé par l’armée
française, au lieu même du supplice, annon-
çait le rafinement des maux, qu’il aura
souffert.

Après le récit de tant de malheurs, il est
consolant de pouvoir rassurer sur le sort
d’une population nombreuse, dont la magna-
nimité du vainqueur a garanti l’existence et
satisfait les besoins.

Des municipalités sont établies dans Mos-
sou. Les greniers, auxquels les chauffeurs,
dans leur rage delirante, n’ont point songé,
sont pleins, et suffiront pour six mois aux
subsistances de l’armée et des habitans.

D’autres ressources se découvrent chaque
jour. Une administration économe, éclairée,
paternelle, en dirige l’emploi, la répartition,
et par là en double les quantités.

Les paysans, les bourgeois entraînés par
les armées russes, rentrent en foule dans
leurs foyers.

Moscou offre l’étrange et unique spectacle
de la civilisation renaissant à travers les rui-
nes, et des bienfaits de la paix, apportés par
les conquérants.


Voici une courte notice sur le général comte
Louis de Montbrun, tué à la bataille de Mos-
kowa. Fils d’un ancien militaire, il était en-
tré trois ans avant la révolution, et en ayant
à peine dix-sept, comme simple soldat, dans
le 7e régiment de chasseurs à cheval, dont il
devint colonel en passant par tous les grades.
Depuis cette époque, il n’avait pas cessé
d’étre en activité. Couvert de blessures, tou-
jours remarqué, toujours cité dans les cam-
pagnes glorieuses de l’Empereur, pour sa bra-
voure et ses talens, on ne peut payer un plus
bean tribut à sa mémoire qu’en disant qu’a-
près la bataille de Wagram, où il servit en
qualité de général de division, S. M. le mit
à la tête de toute la cavallerie de l’armée de
Portugal, et qu’elle le rappela prês d’elle pour
commander le 2e corps de réserve de cavale-
rie à la grande armée.

Frappé d’un boulet de canon, il survécut à
se coup horrible. Pendant six heures, il

[Spaltenumbruch]

Feuer, welches ſo auf einmal zu allen vorbereite-
ten Materialien drang.

Die Helfershelfer von Roſtopſchin warfen Brand-
raketen auf diejenigen Haͤuſer, in denen man keine
feuerfangende Sachen angebracht hatte.

Bey dieſen ſcheußlichen Anſtalten ward ein Kauf-
mann zu Moscau, Namens Werſtiaguine, der
einige Monate vorher arretirt worden, weil er die
Eroberung dieſer Stadt durch die Waſſen Napo-
leons unvorſichtigerweiſe vorausgeſagt, aus dem
Gefaͤngniſſe geholt und nach dem Regierungs-Platz
geſchleppt.

Man ſuchte ſeinen Vater auf, um dieſen zum
Zeugen der barbariſchſten Aufopferung zu machen.
Dieſer Greis aber hatte ſich verſteckt.

Das ungluͤckliche Schlachtopfer ward der Sol-
dateske uͤberliefert. Sein Leichnam, den die Fran-
zoͤſiſche Armee an dem Orte der Hinrichtung ge-
funden, zeigte das Raffinement der Quaalen an,
die er erlitten haben muß.

Nach der Erzaͤhlung von ſo vielem Ungluͤck, iſt
es troͤſtend, ſich uͤber das Schickſal einer zahlrei-
chen Volksmenge beruhigen zu koͤnnen, deren Exi-
ſtenz die Edelmuth des Siegers garantirt und
ihren Beduͤrfniſſen abgeholfen hat.

Es ſind nunmehr Municipalitaͤten in Moscau
errichtet. Die Kornſpeicher, an welche die Brand-
ſtifter in ihrer raſenden Wuth nicht gedacht hat-
ten, ſind voll und reichen auf ein halbes Jahr zum
Unterhalt der Armee und der Einwohner hin.

Andere Huͤlfsquellen werden taͤglich entdeckt.
Eine oͤconomiſche, aufgeklaͤrte und vaͤterliche Ad-
miniſtration leitet die Anwendung und Ver-
theilung derſelben und verdoppelt dadurch ihre
Quantitaͤt.

Die Bauern und Buͤrger, die von der Rußiſchen
Armee fortgeſchleppt wurden, kehren haufenweiſe
nach ihrer Heymath zuruͤck.

Mosca[u] bietet das beſondere und einzige Schau-
ſpiel der Civiliſation, die aus den Truͤmmern wie-
der hervorgeht, und der Wohlthaten des Friedens
dar, die von den Eroberern uͤberbracht worden.


Folgendes iſt eine kurze Notiz uͤber den Gene-
ral, Grafen Lo[u]is de Montbrun, der in der
Schlacht an der Moskwa getoͤdtet worden; Als
Sohn eines vormaligen Militairs war er 3 Jahre
vor der Revolution und kaum 17 Jahr alt als ge-
meiner Soldat in das 7te Regiment Jaͤger zu
Pferde getreten, wovon er Oberſt wurde, indem er
alle Grade durchgieng. Seit dieſer Zeit war er
ſtets in Thaͤtigkeit geweſen. Bedeckt mit Wun-
den, ſtets bemerkt, ſtets angefuͤhrt in den glor-
reichen Feldzuͤgen des Kayſers, wegen ſeiner Bra-
vo[u]r und ſeiner Talente, kann man ſeinem Anden-
ken keinen gerechtern Tribut zollen, als wenn man
anfuͤhrt, daß ihn Se. Majeſtt nach der Schlacht
von Wagram, wo er als Diviſions-General diente,
an die Spitze der geſammten Cavallerie der Armee
von Portugall ſtellte, und ihn zu ſich beriefen, um
das 2te Reſerve-Corps der Cavallerie bey der großen
Armee zu commandiren.

Von einer Kanonenkugel getroffen, uͤberlebte er die-
ſen fuͤrchterlichen Schlag 6 Stunden; hiedurch
empfand er und gab den fuͤr einen tapfern Mann

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[[2]/0002] en bois etc. Des cordes souffrées communi- quaient au déhors, et recevaient le feu, qui pénétrait ainsi, à la fois, dans toutes les ma- tieres préparées. Les Satellites de Rustopschin lançaient des fusées incendiaires sur les maisons, où des foyers n’avaient point été établis. C’es à travers ces hideux préparatifs, qu’un marchand de Moscou, nommé Werstiaguine, arrêté, il y a quelques mois, pour avoir im- prudemment pronostiqué la conquête de la capitale par les armes de Napoléon, a été ex- trait des cachots et amené dans la cour du gouvernement. On cherchait son père, pour le rendre te- moin du plus barbare sacrifice. Ce vieillard s’était caché. L’infortunée victime a été livrée à la sol- datesque. Son cadavre trouvé par l’armée française, au lieu même du supplice, annon- çait le rafinement des maux, qu’il aura souffert. Après le récit de tant de malheurs, il est consolant de pouvoir rassurer sur le sort d’une population nombreuse, dont la magna- nimité du vainqueur a garanti l’existence et satisfait les besoins. Des municipalités sont établies dans Mos- sou. Les greniers, auxquels les chauffeurs, dans leur rage delirante, n’ont point songé, sont pleins, et suffiront pour six mois aux subsistances de l’armée et des habitans. D’autres ressources se découvrent chaque jour. Une administration économe, éclairée, paternelle, en dirige l’emploi, la répartition, et par là en double les quantités. Les paysans, les bourgeois entraînés par les armées russes, rentrent en foule dans leurs foyers. Moscou offre l’étrange et unique spectacle de la civilisation renaissant à travers les rui- nes, et des bienfaits de la paix, apportés par les conquérants. Extrait d’une lettre de Paris, du 10 Oct. Voici une courte notice sur le général comte Louis de Montbrun, tué à la bataille de Mos- kowa. Fils d’un ancien militaire, il était en- tré trois ans avant la révolution, et en ayant à peine dix-sept, comme simple soldat, dans le 7e régiment de chasseurs à cheval, dont il devint colonel en passant par tous les grades. Depuis cette époque, il n’avait pas cessé d’étre en activité. Couvert de blessures, tou- jours remarqué, toujours cité dans les cam- pagnes glorieuses de l’Empereur, pour sa bra- voure et ses talens, on ne peut payer un plus bean tribut à sa mémoire qu’en disant qu’a- près la bataille de Wagram, où il servit en qualité de général de division, S. M. le mit à la tête de toute la cavallerie de l’armée de Portugal, et qu’elle le rappela prês d’elle pour commander le 2e corps de réserve de cavale- rie à la grande armée. Frappé d’un boulet de canon, il survécut à se coup horrible. Pendant six heures, il Feuer, welches ſo auf einmal zu allen vorbereite- ten Materialien drang. Die Helfershelfer von Roſtopſchin warfen Brand- raketen auf diejenigen Haͤuſer, in denen man keine feuerfangende Sachen angebracht hatte. Bey dieſen ſcheußlichen Anſtalten ward ein Kauf- mann zu Moscau, Namens Werſtiaguine, der einige Monate vorher arretirt worden, weil er die Eroberung dieſer Stadt durch die Waſſen Napo- leons unvorſichtigerweiſe vorausgeſagt, aus dem Gefaͤngniſſe geholt und nach dem Regierungs-Platz geſchleppt. Man ſuchte ſeinen Vater auf, um dieſen zum Zeugen der barbariſchſten Aufopferung zu machen. Dieſer Greis aber hatte ſich verſteckt. Das ungluͤckliche Schlachtopfer ward der Sol- dateske uͤberliefert. Sein Leichnam, den die Fran- zoͤſiſche Armee an dem Orte der Hinrichtung ge- funden, zeigte das Raffinement der Quaalen an, die er erlitten haben muß. Nach der Erzaͤhlung von ſo vielem Ungluͤck, iſt es troͤſtend, ſich uͤber das Schickſal einer zahlrei- chen Volksmenge beruhigen zu koͤnnen, deren Exi- ſtenz die Edelmuth des Siegers garantirt und ihren Beduͤrfniſſen abgeholfen hat. Es ſind nunmehr Municipalitaͤten in Moscau errichtet. Die Kornſpeicher, an welche die Brand- ſtifter in ihrer raſenden Wuth nicht gedacht hat- ten, ſind voll und reichen auf ein halbes Jahr zum Unterhalt der Armee und der Einwohner hin. Andere Huͤlfsquellen werden taͤglich entdeckt. Eine oͤconomiſche, aufgeklaͤrte und vaͤterliche Ad- miniſtration leitet die Anwendung und Ver- theilung derſelben und verdoppelt dadurch ihre Quantitaͤt. Die Bauern und Buͤrger, die von der Rußiſchen Armee fortgeſchleppt wurden, kehren haufenweiſe nach ihrer Heymath zuruͤck. Moscau bietet das beſondere und einzige Schau- ſpiel der Civiliſation, die aus den Truͤmmern wie- der hervorgeht, und der Wohlthaten des Friedens dar, die von den Eroberern uͤberbracht worden. Schreiben aus Paris, vom 10 October. Folgendes iſt eine kurze Notiz uͤber den Gene- ral, Grafen Louis de Montbrun, der in der Schlacht an der Moskwa getoͤdtet worden; Als Sohn eines vormaligen Militairs war er 3 Jahre vor der Revolution und kaum 17 Jahr alt als ge- meiner Soldat in das 7te Regiment Jaͤger zu Pferde getreten, wovon er Oberſt wurde, indem er alle Grade durchgieng. Seit dieſer Zeit war er ſtets in Thaͤtigkeit geweſen. Bedeckt mit Wun- den, ſtets bemerkt, ſtets angefuͤhrt in den glor- reichen Feldzuͤgen des Kayſers, wegen ſeiner Bra- vour und ſeiner Talente, kann man ſeinem Anden- ken keinen gerechtern Tribut zollen, als wenn man anfuͤhrt, daß ihn Se. Majeſtaͤt nach der Schlacht von Wagram, wo er als Diviſions-General diente, an die Spitze der geſammten Cavallerie der Armee von Portugall ſtellte, und ihn zu ſich beriefen, um das 2te Reſerve-Corps der Cavallerie bey der großen Armee zu commandiren. Von einer Kanonenkugel getroffen, uͤberlebte er die- ſen fuͤrchterlichen Schlag 6 Stunden; hiedurch empfand er und gab den fuͤr einen tapfern Mann

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T09:59:31Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Die Ausgabe enthält französischsprachige Artikel.




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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 167, Hamburg, 17. Oktober 1812, S. [2]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1671710_1812/2>, abgerufen am 21.11.2024.