Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 171, Hamburg, 24. Oktober 1813.[Spaltenumbruch]
ligne naturelle de sa politique, exposee aux Mais la sagesse meme est trompee dans ses Naturellement factieux, le nouveau prince seiner Politik befand, dem Unglücke eines seinem Die Weisheit selbst aber wird in ihren Berech- Von Natur partheysüchtig, überließ sich der neue [Spaltenumbruch]
ligne naturelle de sa politique, exposée aux Mais la sagesse même est trompée dans ses Naturellement factieux, le nouveau prince ſeiner Politik befand, dem Ungluͤcke eines ſeinem Die Weisheit ſelbſt aber wird in ihren Berech- Von Natur partheyſuͤchtig, uͤberließ ſich der neue <TEI> <text> <body> <div n="1"> <div type="jPoliticalNews"> <pb facs="#f0003" n="[3]"/> <cb/> <div corresp="ar003a2" next="ar003b3" xml:id="ar003b2" xml:lang="fra" prev="ar003b" type="jArticle"> <p> <hi rendition="#aq">ligne naturelle de sa politique, exposée aux<lb/> désastres d’une guerre contraire à ses intérêts,<lb/> éprouva le besoin de rectifier son systême et<lb/> de donner un successeur à un prince dont le<lb/> bras trop faible ne pouvait porter le sceptre<lb/> et l’épée du grand Gustave, elle se concerta<lb/> avec le gouvernement français. Ce fut parmi<lb/> les militaires français qui, sur la foi de la<lb/> renommée, entraient en partage de cette im-<lb/> mensité de gloire conquise par vingt années<lb/> de travaux et de succès, que la Suède, pour<lb/> donner une garantie inviolable d’attachement<lb/> à son allié naturel, choisit le chef qui devait<lb/> présider à ses nouvelles destinées. Les Sué-<lb/> dois devaient supposer qu’un homme qui avait<lb/> eu l’honneur de combattre sous les yeux de<lb/> l’Empereur des Français, qui avait servi sa<lb/> politique, et qui devait à la générosité im-<lb/> périale son rang, sa fortune, et sa considéra-<lb/> tion, se souviendrait toujours de sa première<lb/> patrie, des bienfaits dont il avait été comblé,<lb/> et qu’il chercherait à consolider l’indépen-<lb/> dance de son peuple en consultant ses intérêts<lb/> et son inclination qui depuis deux siècles l’at-<lb/> tachaient au systême de la France. Le choix<lb/> de la Suède était un langage qui fut entendu<lb/> de toute l’Europe; et ceux qui ne connais-<lb/> saient le nouveau prince royal que par sa<lb/> réputation militaire, ne doutèrent pas un ins-<lb/> tant qu’il ne suivît une route tracée par ses<lb/> plus illustres prédécesseurs.</hi> </p><lb/> <p> <hi rendition="#aq">Mais la sagesse même est trompée dans ses<lb/> calculs, lorsqu’elle ne met point en ligne de<lb/> compte les passions individuelles, dont l’in-<lb/> fluence cède rarement à celle de la raison.<lb/> Les personnes qui connaissaient particulière-<lb/> ment Charles-Jean Bernadotte, l’avaient vu<lb/> dans la révolution flotter sans principes et<lb/> sans boussole à la merci des événemens, flat-<lb/> ter, servir, trahir tour-à-tour les factions qui<lb/> se disputaient le pouvoir, jaloux des talens<lb/> militaires qu’il désespérait d’égaler, inquiet<lb/> au milieu du rétablissement de l’ordre, se-<lb/> crètement tourmenté de désirs ambitieux, in-<lb/> grat par caractère, et prenant sa vanité pour<lb/> de l’élevation et son inéquitude naturelle pour<lb/> du génie; ces personnes, dis-je, observaient<lb/> ses démarches avec défiance, et ne tardèrent<lb/> pas à reconnaître que les espérances de la<lb/> Suède seraient trompées; que le nouveau<lb/> prince royal séparerait ses intérêts de ceux<lb/> de son peuple, et n’userait de son influence<lb/> que pour satisfaire l’avidité de sonambition.</hi> </p><lb/> <p> <hi rendition="#aq">Naturellement factieux, le nouveau prince<lb/> royal se livra bientôt à cette faction que l’or<lb/> de l’Angleterre et les promesses de la Russia<lb/> entretiennent depuis si long-temps à la cour<lb/> de Suède, et dont quelques membres proprié-<lb/> taires en Livonie songent moins à servir l’é-<lb/> tat qu’à conserver leur fortune et à l’augmen-<lb/> ter aux dépens du peuple suédois. Ils per-</hi> </p><lb/> </div> <cb/> <div corresp="ar003b2" xml:id="ar003a2" prev="ar003a" type="jArticle" next="ar003a3"> <p>ſeiner Politik befand, dem Ungluͤcke eines ſeinem<lb/> Jntereſſe widerſtrebenden Kriegs ausgeſetzt war,<lb/> und das Beduͤrfniß empfand, ſein Syſtem zu ver-<lb/> laſſen, und einem Prinzen einen Nachfolger zu<lb/> geben, deſſen zu ſchwacher Arm den Scepter und<lb/> Degen des großen Guſtavs nicht fuͤhren konnte,<lb/> ſo verabredete es ſich mit der Franzoͤſiſchen Regie-<lb/> rung. Um eine unverletzliche Garantie der Er-<lb/> gebenheit ſeinem natuͤrlichen Alliirten zu ertheilen,<lb/> waͤhlte Schweden unter den Franzoͤſiſchen Militairs.<lb/> die dem Rufe nach Theil an dem unendlichen<lb/> Ruhme nahmen, der durch 20jaͤhrige Anſtrengun-<lb/> gen und Erfolge erworben worden, den Chef, der<lb/> an der Spitze ſeiner neuen Beſtimmungen ſtehen<lb/> ſollte. Die Schweden mußten vorausſehen, daß<lb/> ein Mann, der die Ehre gehabt hatte, unter den<lb/> Augen des Kayſers der Franzoſen zu fechten, der<lb/> ſeiner Politik gedient hatte, und der Kayſerlichen<lb/> Großmuth ſeinen Rang, ſein Gluͤck und ſeine Ach-<lb/> tung verdankte, ſich ſtets ſeines erſten Vaterlan-<lb/> des, der Wohlthaten, womit er uͤberhaͤuft worden,<lb/> erinnern, und daß er ſuchen wuͤrde, die Unabhaͤn-<lb/> gigkeit ſeines Volks zu ſichern, indem er das Jn-<lb/> tereſſe und die Neigung deſſelben zu Rathe zoͤge.<lb/> Die Wahl Schwedens war eine Sprache, die<lb/> von ganz Europa verſtanden wurde; und diejenigen,<lb/> die den neuen Kronprinzen nur nach ſeinem Mili-<lb/> tair-Ruf kannten, zweifelten nicht einen Augenblick,<lb/> daß er einen Weg befolgen wuͤrde, der von ſeinen<lb/> durchlauchtigſten Vorfahren vorgezeichnet war.</p><lb/> <p>Die Weisheit ſelbſt aber wird in ihren Berech-<lb/> nungen getaͤuſcht, wenn ſie individuelle Leiden-<lb/> ſchaften nicht in Rechnung bringt, deren Einfluß<lb/> ſelten dem Einfluſſe der Vernunft nachgiebt. Die-<lb/> jenigen Perſonen, welche Carl Johann Bernadotte<lb/> naͤher kennen, haben geſehen, daß er zur Zeit der<lb/> Revolution ohne Grundſaͤtze und ohne Compaß<lb/> auf’s Gerathewohl der Begebenheiten ſchwankte,<lb/> daß er abwechſelnd allen Factionen, die ſich die<lb/> Herrſchaft ſtreitig machten, ſchmeichelte, ihnen<lb/> diente und ſie taͤuſchte, daß er eiferſuͤchtig auf Mi-<lb/> litair-Talente war, denen er gleich zu kommen ver-<lb/> zweifelte, daß er mitten unter der Wiederherſtel-<lb/> lung der Ordnung unruhig, von ehrgeizigen Wuͤn-<lb/> ſchen heimlich gequaͤlt, undankbar von Character<lb/> war, und ſeine Eitelkeit fuͤr Erhabenheit und ſeine<lb/> natuͤrliche Unruhe fuͤr Genie hielt; dieſe Perſonen,<lb/> ſage ich, bemerkten ſeine Schritte mit Mißtrauen<lb/> und ſahen bald ein, daß die Hoffnungen Schwe-<lb/> dens wuͤrden getaͤuſcht werden; daß der neue Kron-<lb/> prinz von Schweden ſein Jntereſſe von dem Jn-<lb/> tereſſe ſeines Volks trennen und ſeinen Einfluß<lb/> nur gebrauchen wuͤrde, um ſeinen gierigen Ehrgeiz<lb/> zu befriedigen.</p><lb/> <p>Von Natur partheyſuͤchtig, uͤberließ ſich der neue<lb/> Kronprinz bald jener Faction, die das Gold Eng-<lb/> lands und die Verſprechungen Rußlands ſeit ſo<lb/> langer Zeit an dem Schwediſchen Hofe unterhalten,<lb/> und wovon einige Mitglieder, die Beſitzungen in<lb/> Liefland haben, weniger daran denken, dem Staate<lb/> zu dienen, als ihr Vermoͤgen zu erhalten und es</p><lb/> </div> </div> </div> </body> </text> </TEI> [[3]/0003]
ligne naturelle de sa politique, exposée aux
désastres d’une guerre contraire à ses intérêts,
éprouva le besoin de rectifier son systême et
de donner un successeur à un prince dont le
bras trop faible ne pouvait porter le sceptre
et l’épée du grand Gustave, elle se concerta
avec le gouvernement français. Ce fut parmi
les militaires français qui, sur la foi de la
renommée, entraient en partage de cette im-
mensité de gloire conquise par vingt années
de travaux et de succès, que la Suède, pour
donner une garantie inviolable d’attachement
à son allié naturel, choisit le chef qui devait
présider à ses nouvelles destinées. Les Sué-
dois devaient supposer qu’un homme qui avait
eu l’honneur de combattre sous les yeux de
l’Empereur des Français, qui avait servi sa
politique, et qui devait à la générosité im-
périale son rang, sa fortune, et sa considéra-
tion, se souviendrait toujours de sa première
patrie, des bienfaits dont il avait été comblé,
et qu’il chercherait à consolider l’indépen-
dance de son peuple en consultant ses intérêts
et son inclination qui depuis deux siècles l’at-
tachaient au systême de la France. Le choix
de la Suède était un langage qui fut entendu
de toute l’Europe; et ceux qui ne connais-
saient le nouveau prince royal que par sa
réputation militaire, ne doutèrent pas un ins-
tant qu’il ne suivît une route tracée par ses
plus illustres prédécesseurs.
Mais la sagesse même est trompée dans ses
calculs, lorsqu’elle ne met point en ligne de
compte les passions individuelles, dont l’in-
fluence cède rarement à celle de la raison.
Les personnes qui connaissaient particulière-
ment Charles-Jean Bernadotte, l’avaient vu
dans la révolution flotter sans principes et
sans boussole à la merci des événemens, flat-
ter, servir, trahir tour-à-tour les factions qui
se disputaient le pouvoir, jaloux des talens
militaires qu’il désespérait d’égaler, inquiet
au milieu du rétablissement de l’ordre, se-
crètement tourmenté de désirs ambitieux, in-
grat par caractère, et prenant sa vanité pour
de l’élevation et son inéquitude naturelle pour
du génie; ces personnes, dis-je, observaient
ses démarches avec défiance, et ne tardèrent
pas à reconnaître que les espérances de la
Suède seraient trompées; que le nouveau
prince royal séparerait ses intérêts de ceux
de son peuple, et n’userait de son influence
que pour satisfaire l’avidité de sonambition.
Naturellement factieux, le nouveau prince
royal se livra bientôt à cette faction que l’or
de l’Angleterre et les promesses de la Russia
entretiennent depuis si long-temps à la cour
de Suède, et dont quelques membres proprié-
taires en Livonie songent moins à servir l’é-
tat qu’à conserver leur fortune et à l’augmen-
ter aux dépens du peuple suédois. Ils per-
ſeiner Politik befand, dem Ungluͤcke eines ſeinem
Jntereſſe widerſtrebenden Kriegs ausgeſetzt war,
und das Beduͤrfniß empfand, ſein Syſtem zu ver-
laſſen, und einem Prinzen einen Nachfolger zu
geben, deſſen zu ſchwacher Arm den Scepter und
Degen des großen Guſtavs nicht fuͤhren konnte,
ſo verabredete es ſich mit der Franzoͤſiſchen Regie-
rung. Um eine unverletzliche Garantie der Er-
gebenheit ſeinem natuͤrlichen Alliirten zu ertheilen,
waͤhlte Schweden unter den Franzoͤſiſchen Militairs.
die dem Rufe nach Theil an dem unendlichen
Ruhme nahmen, der durch 20jaͤhrige Anſtrengun-
gen und Erfolge erworben worden, den Chef, der
an der Spitze ſeiner neuen Beſtimmungen ſtehen
ſollte. Die Schweden mußten vorausſehen, daß
ein Mann, der die Ehre gehabt hatte, unter den
Augen des Kayſers der Franzoſen zu fechten, der
ſeiner Politik gedient hatte, und der Kayſerlichen
Großmuth ſeinen Rang, ſein Gluͤck und ſeine Ach-
tung verdankte, ſich ſtets ſeines erſten Vaterlan-
des, der Wohlthaten, womit er uͤberhaͤuft worden,
erinnern, und daß er ſuchen wuͤrde, die Unabhaͤn-
gigkeit ſeines Volks zu ſichern, indem er das Jn-
tereſſe und die Neigung deſſelben zu Rathe zoͤge.
Die Wahl Schwedens war eine Sprache, die
von ganz Europa verſtanden wurde; und diejenigen,
die den neuen Kronprinzen nur nach ſeinem Mili-
tair-Ruf kannten, zweifelten nicht einen Augenblick,
daß er einen Weg befolgen wuͤrde, der von ſeinen
durchlauchtigſten Vorfahren vorgezeichnet war.
Die Weisheit ſelbſt aber wird in ihren Berech-
nungen getaͤuſcht, wenn ſie individuelle Leiden-
ſchaften nicht in Rechnung bringt, deren Einfluß
ſelten dem Einfluſſe der Vernunft nachgiebt. Die-
jenigen Perſonen, welche Carl Johann Bernadotte
naͤher kennen, haben geſehen, daß er zur Zeit der
Revolution ohne Grundſaͤtze und ohne Compaß
auf’s Gerathewohl der Begebenheiten ſchwankte,
daß er abwechſelnd allen Factionen, die ſich die
Herrſchaft ſtreitig machten, ſchmeichelte, ihnen
diente und ſie taͤuſchte, daß er eiferſuͤchtig auf Mi-
litair-Talente war, denen er gleich zu kommen ver-
zweifelte, daß er mitten unter der Wiederherſtel-
lung der Ordnung unruhig, von ehrgeizigen Wuͤn-
ſchen heimlich gequaͤlt, undankbar von Character
war, und ſeine Eitelkeit fuͤr Erhabenheit und ſeine
natuͤrliche Unruhe fuͤr Genie hielt; dieſe Perſonen,
ſage ich, bemerkten ſeine Schritte mit Mißtrauen
und ſahen bald ein, daß die Hoffnungen Schwe-
dens wuͤrden getaͤuſcht werden; daß der neue Kron-
prinz von Schweden ſein Jntereſſe von dem Jn-
tereſſe ſeines Volks trennen und ſeinen Einfluß
nur gebrauchen wuͤrde, um ſeinen gierigen Ehrgeiz
zu befriedigen.
Von Natur partheyſuͤchtig, uͤberließ ſich der neue
Kronprinz bald jener Faction, die das Gold Eng-
lands und die Verſprechungen Rußlands ſeit ſo
langer Zeit an dem Schwediſchen Hofe unterhalten,
und wovon einige Mitglieder, die Beſitzungen in
Liefland haben, weniger daran denken, dem Staate
zu dienen, als ihr Vermoͤgen zu erhalten und es
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(2014-07-28T10:00:34Z)
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