Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850.15 (S. 388.) Ein officielles Zusammenstellen von Kornthenrung und vielmonatlicher Verdunkelung der Sonnenscheibe wird in den historischen Fragmenten des älteren Cato erwähnt. Luminis caligo und defectus Solis deutet bei römischen Schriftstellern, z. B. in Erzählungen über die lange Verbleichung der Sonne nach dem Tode des Cäsar, keinesweges immer auf eine Sonnenfinsterniß. So findet sich bei Aulus Gellius in Noct. Att. II, 28: "Verba Catonis in Originum quarto haec sunt: non libet scribere, quod in tabula apud Pontificem maximum est, quotiens anona cara, quotiens lunae an solis lumini caligo, aut quid obstiterit." 16 (S. 388.) Gautier, Recherches relatives a l'influence que le nombre des taches solaires exerce sur les temperatures terrestres, in der Bibliotheque Universelle de Geneve, Nouv. Serie T. LI. 1844 p. 327-335. 17 (S. 389.) Arago im Annuaire pour 1846 p. 271-438. 18 (S. 389.) A. a. O. p. 440-447. 19 (S. 389.) Das ist der weißliche Schein, welcher auch in der Sonnenfinsterniß vom 15 Mai 1836 gesehen ward und von welchem schon damals der große Königsberger Astronom sehr richtig sagte: "daß, als die Mondscheibe die Sonne ganz verdeckte, noch ein leuchtender Ring der Sonnen-Atmosphäre übrig blieb". (Bessel in Schum. Astr. Nachr. No. 320.) 20 (S. 390.) "Si nous examinions de plus pres l'explication d'apres laquelle les protuberances rougeatres seraient assimilees a des nuages (de la troisieme enveloppe), nous ne trouverions aucun principe de physique qui nous empechat d'admettre que des masses nuageuses de 25 a 30000 lieues de long flottent dans l'atmosphere du Soleil; que ces masses, comme certains nuages de l'atmosphere terrestre, ont des contours arretes, qu'elles affectent, ca et la, des formes tres tourmentees, meme des formes en surplomb; que la lumiere solaire (la photosphere) les colore en rouge. -- Si cette troisieme enveloppe existe, elle donnera peut-etre la clef de quelques-unes des grandes et deplorables anomalies que l'on remarque dans le cours des saisons." (Arago im Annuaire pour 1846 p. 460 und 467.) 21 (S. 390.) "Tout ce qui affaiblira sensiblement l'intensite eclairante de la portion de l'atmosphere terrestre qui paraeit entourer et toucher le contour circulaire du Soleil, pourra 15 (S. 388.) Ein officielles Zusammenstellen von Kornthenrung und vielmonatlicher Verdunkelung der Sonnenscheibe wird in den historischen Fragmenten des älteren Cato erwähnt. Luminis caligo und defectus Solis deutet bei römischen Schriftstellern, z. B. in Erzählungen über die lange Verbleichung der Sonne nach dem Tode des Cäsar, keinesweges immer auf eine Sonnenfinsterniß. So findet sich bei Aulus Gellius in Noct. Att. II, 28: »Verba Catonis in Originum quarto haec sunt: non libet scribere, quod in tabula apud Pontificem maximum est, quotiens anona cara, quotiens lunae an solis lumini caligo, aut quid obstiterit.« 16 (S. 388.) Gautier, Recherches relatives à l'influence que le nombre des taches solaires exerce sur les températures terrestres, in der Bibliothèque Universelle de Genève, Nouv. Série T. LI. 1844 p. 327–335. 17 (S. 389.) Arago im Annuaire pour 1846 p. 271–438. 18 (S. 389.) A. a. O. p. 440–447. 19 (S. 389.) Das ist der weißliche Schein, welcher auch in der Sonnenfinsterniß vom 15 Mai 1836 gesehen ward und von welchem schon damals der große Königsberger Astronom sehr richtig sagte: „daß, als die Mondscheibe die Sonne ganz verdeckte, noch ein leuchtender Ring der Sonnen-Atmosphäre übrig blieb“. (Bessel in Schum. Astr. Nachr. No. 320.) 20 (S. 390.) »Si nous examinions de plus près l'explication d'après laquelle les protubérances rougeâtres seraient assimilées à des nuages (de la troisième enveloppe), nous ne trouverions aucun principe de physique qui nous empêchât d'admettre que des masses nuageuses de 25 à 30000 lieues de long flottent dans l'atmosphère du Soleil; que ces masses, comme certains nuages de l'atmosphère terrestre, ont des contours arrêtés, qu'elles affectent, çà et là, des formes très tourmentées, même des formes en surplomb; que la lumière solaire (la photosphère) les colore en rouge. — Si cette troisième enveloppe existe, elle donnera peut-être la clef de quelques-unes des grandes et déplorables anomalies que l'on remarque dans le cours des saisons.« (Arago im Annuaire pour 1846 p. 460 und 467.) 21 (S. 390.) »Tout ce qui affaiblira sensiblement l'intensité éclairante de la portion de l'atmosphère terrestre qui paraît entourer et toucher le contour circulaire du Soleil, pourra <TEI> <text> <body> <div n="1"> <div n="2"> <div n="3"> <div n="4"> <div n="5"> <pb facs="#f0416" n="411"/> <note xml:id="ftn474-text" prev="#ftn474" place="end" n="15"> (S. 388.) 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¹⁵ (S. 388.) Ein officielles Zusammenstellen von Kornthenrung und vielmonatlicher Verdunkelung der Sonnenscheibe wird in den historischen Fragmenten des älteren Cato erwähnt. Luminis caligo und defectus Solis deutet bei römischen Schriftstellern, z. B. in Erzählungen über die lange Verbleichung der Sonne nach dem Tode des Cäsar, keinesweges immer auf eine Sonnenfinsterniß. So findet sich bei Aulus Gellius in Noct. Att. II, 28: »Verba Catonis in Originum quarto haec sunt: non libet scribere, quod in tabula apud Pontificem maximum est, quotiens anona cara, quotiens lunae an solis lumini caligo, aut quid obstiterit.«
¹⁶ (S. 388.) Gautier, Recherches relatives à l'influence que le nombre des taches solaires exerce sur les températures terrestres, in der Bibliothèque Universelle de Genève, Nouv. Série T. LI. 1844 p. 327–335.
¹⁷ (S. 389.) Arago im Annuaire pour 1846 p. 271–438.
¹⁸ (S. 389.) A. a. O. p. 440–447.
¹⁹ (S. 389.) Das ist der weißliche Schein, welcher auch in der Sonnenfinsterniß vom 15 Mai 1836 gesehen ward und von welchem schon damals der große Königsberger Astronom sehr richtig sagte: „daß, als die Mondscheibe die Sonne ganz verdeckte, noch ein leuchtender Ring der Sonnen-Atmosphäre übrig blieb“. (Bessel in Schum. Astr. Nachr. No. 320.)
²⁰ (S. 390.) »Si nous examinions de plus près l'explication d'après laquelle les protubérances rougeâtres seraient assimilées à des nuages (de la troisième enveloppe), nous ne trouverions aucun principe de physique qui nous empêchât d'admettre que des masses nuageuses de 25 à 30000 lieues de long flottent dans l'atmosphère du Soleil; que ces masses, comme certains nuages de l'atmosphère terrestre, ont des contours arrêtés, qu'elles affectent, çà et là, des formes très tourmentées, même des formes en surplomb; que la lumière solaire (la photosphère) les colore en rouge. — Si cette troisième enveloppe existe, elle donnera peut-être la clef de quelques-unes des grandes et déplorables anomalies que l'on remarque dans le cours des saisons.« (Arago im Annuaire pour 1846 p. 460 und 467.)
²¹ (S. 390.) »Tout ce qui affaiblira sensiblement l'intensité éclairante de la portion de l'atmosphère terrestre qui paraît entourer et toucher le contour circulaire du Soleil, pourra
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(2013-04-18T11:04:31Z)
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