Ohm, Georg Simon: Die galvanische Kette. Berlin, 1827.keit, die dem Geiste der Differenzialrechnung ge- donc cette quantite a la differentielle de sa temperature
prise par rapport au temps on formerait l'equation du mouvement de la chaleur suivant la longueur de la bar- re; mais en examinant plus attentivement la question, on reconnait sans peine, que cette equation serait fondee sur la comparaison de deux quantites infiniment petites non homogenes, ou de differens ordres, ce qui serait contraire aux premiers principes du calcul differentiel. On ne peut faire disparaitre cette difficulte qu'en suppo- sant, ainsi que M. Laplace l'a remarque le premier (Me- moires de la 1re classe de l'Institut annee 1809.), que l'action de chaque element de la barre s'etend au dela du contact, et qu'elle s'exerce sur tous les elemens com- pris dans une etendue finie, aussi petite qu'on voudra. keit, die dem Geiste der Differenzialrechnung ge- donc cette quantité à la differentielle de sa température
prise par rapport au temps on formerait l’équation du mouvement de la chaleur suivant la longueur de la bar- re; mais en examinant plus attentivement la question, on réconnait sans peine, que cette équation serait fondée sur la comparaison de deux quantités infiniment petites non homogénes, ou de differens ordres, ce qui serait contraire aux premiers principes du calcul differentiel. On ne peut faire disparaitre cette difficulté qu’en suppo- sant, ainsi que M. Laplace l’a remarqué le premier (Mé- moires de la 1re classe de l’Institut année 1809.), que l’action de chaque élément de la barre s’étend au delà du contact, et qu’elle s’exerce sur tous les élémens com- pris dans une étendue finie, aussi petite qu’on voudra. <TEI> <text> <body> <div n="1"> <div n="2"> <p><pb facs="#f0108" n="98"/> keit, die dem Geiste der Differenzialrechnung ge-<lb/> rade zu entgegen ist. Dieses scheinbar unvermeid-<lb/> liche Miſsverhältniſs zwischen den Gliedern einer<lb/> Differenzialgleichung, die doch nothwendigerweise<lb/> zu einander gehören, ist zu auffallend, um nicht<lb/> die Aufmerksamkeit derer, für die solche Unter-<lb/> suchungen Werth haben, auf sich zu ziehen; da-<lb/> her wird ein Versuch, zur Aufklärung dieses<lb/> Räthsels etwas beizutragen, um so weniger hier<lb/> am unrechten Orte sein, weil wir den Vortheil<lb/> erlangen, daſs die folgenden Betrachtungen da-<lb/> durch einfacher und kürzer ausfallen. Wir wer-<lb/><note xml:id="note-0108" prev="#note-0107" place="foot" n="*)">donc cette quantité à la differentielle de sa température<lb/> prise par rapport au temps on formerait l’équation du<lb/> mouvement de la chaleur suivant la longueur de la bar-<lb/> re; mais en examinant plus attentivement la question,<lb/> on réconnait sans peine, que cette équation serait fondée<lb/> sur la comparaison de deux quantités infiniment petites<lb/> non homogénes, ou de differens ordres, ce qui serait<lb/> contraire aux premiers principes du calcul differentiel.<lb/> On ne peut faire disparaitre cette difficulté qu’en suppo-<lb/> sant, ainsi que <hi rendition="#i">M. Laplace</hi> l’a remarqué le premier (Mé-<lb/> moires de la 1<hi rendition="#sup">re</hi> classe de l’Institut année 1809.), que<lb/> l’action de chaque élément de la barre s’étend au delà<lb/> du contact, et qu’elle s’exerce sur tous les élémens com-<lb/> pris dans une étendue finie, aussi petite qu’on voudra.</note><lb/></p> </div> </div> </body> </text> </TEI> [98/0108]
keit, die dem Geiste der Differenzialrechnung ge-
rade zu entgegen ist. Dieses scheinbar unvermeid-
liche Miſsverhältniſs zwischen den Gliedern einer
Differenzialgleichung, die doch nothwendigerweise
zu einander gehören, ist zu auffallend, um nicht
die Aufmerksamkeit derer, für die solche Unter-
suchungen Werth haben, auf sich zu ziehen; da-
her wird ein Versuch, zur Aufklärung dieses
Räthsels etwas beizutragen, um so weniger hier
am unrechten Orte sein, weil wir den Vortheil
erlangen, daſs die folgenden Betrachtungen da-
durch einfacher und kürzer ausfallen. Wir wer-
*)
*) donc cette quantité à la differentielle de sa température
prise par rapport au temps on formerait l’équation du
mouvement de la chaleur suivant la longueur de la bar-
re; mais en examinant plus attentivement la question,
on réconnait sans peine, que cette équation serait fondée
sur la comparaison de deux quantités infiniment petites
non homogénes, ou de differens ordres, ce qui serait
contraire aux premiers principes du calcul differentiel.
On ne peut faire disparaitre cette difficulté qu’en suppo-
sant, ainsi que M. Laplace l’a remarqué le premier (Mé-
moires de la 1re classe de l’Institut année 1809.), que
l’action de chaque élément de la barre s’étend au delà
du contact, et qu’elle s’exerce sur tous les élémens com-
pris dans une étendue finie, aussi petite qu’on voudra.
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