(82) S. 373. S. I. A. Märker: das Princip des Bösen nach den Begriffen der Griechen, Berlin, 1842, S. 58 -- 162. S. 151 -- 56. hat Märker das Häßliche, to aiskhron, im Unterschiede von und im Zusammenhange mit kakon auseinandergesetzt. Sehr wich¬ tig ist die Stelle, die er über die sophia aus Platons Hippias maj. 289, B. beibringt: "tenk allisten parthenon pros theon genos aiskhran einai", sofern nämlich die göttlichen Mächte, auch der Gerechtigkeit, als furcht¬ bar vorgestellt wurden.
(83) S. 374. Eine Abbildung des Schattenspiels Kara-geuz f. in der Illustration universelle, Paris 1846, N. 150., p. 301. M. F. Mornand in seinen Souvenirs de voyage en Afrique sagt von diesem Teufel: "Grotesque resume de tous les vices et de toutes les turpitudes, il reunit les types divers inventes chez nous, pour effrayer les enfants, amuser la populace, rendre muette l'attention des vielles femmes aux recits exagerees des veillees d'hiver, ou, dans les orages politiques, pour detourner la vigilance soupconneuse des masses aux approches d'un coup d'Etat, ou bien encore pour alimenter cette source de folie originale, qui consitue bien souvent le merite de nos hommes a la mode. Garagousse est l'Arlequin, le Paillasse, le Polichinelle, le Croquemitaine, le Barbe-Bleue, le Cartouche, le Mayeux, le Ro¬ bert-Macaire de l'Afrique septentrionale; mais avec ces qualites, il n'excite encore qu'une faible admiration chez les spectateurs; c'est comme modele d'obscenite qu'il enleve tous les suffrages. Dans ce role, il produit en scene ce que le cynisme a de plus repoussant et de plus horrible; ses paroles, ses actions sont d'une crudite degoautante. Outra¬ geant la pudeur et la nature, il parodie jusqu'aux monstruosites attri¬ buees par la fable a Pasiphae."
(84) S. 375. Didron: iconographie chretienne, Paris 1843, 4, p. 545. An der Stelle der Zeugungsglieder findet sich auch ein Kopf, der die Zunge hervorblöckt. Uebrigens glaubten die Miniatur¬ maler des Mittelalters ein frommes Werk zu vollbringen, wenn sie den Teufel recht scheußlich malten, weil sie in ihrem frommen Wahn an¬ nahmen, daß er sich darüber ärgere -- und den Teufel zu ärgern, nun, es war doch immer einiges Verdienst.
(85) S. 375. Auch in seinen sämmtl. Werken VII.
(86) S. 375. Uebersetzt im zweiten Theil von Tiecks Vor¬ schule Shakespeare's.
(87) S. 377. Ich besitze von dieser Tentation de St. Antoine Abbe einen großen Kupferstich, den P. Picault gestochen hat. Callot
(82) S. 373. S. I. A. Märker: das Princip des Böſen nach den Begriffen der Griechen, Berlin, 1842, S. 58 — 162. S. 151 — 56. hat Märker das Häßliche, το α͗ισχϱον, im Unterſchiede von und im Zuſammenhange mit ϰαϰον auseinandergeſetzt. Sehr wich¬ tig iſt die Stelle, die er über die σοφια aus Platons Hippias maj. 289, B. beibringt: „τηνϰ αλλιστην παϱϑενον πϱος ϑεων γενος α͗ισχϱαν ε͗ιναι“, ſofern nämlich die göttlichen Mächte, auch der Gerechtigkeit, als furcht¬ bar vorgeſtellt wurden.
(83) S. 374. Eine Abbildung des Schattenſpiels Kara-geuz f. in der Illustration universelle, Paris 1846, N. 150., p. 301. M. F. Mornand in ſeinen Souvenirs de voyage en Afrique ſagt von dieſem Teufel: „Grotesque rèsumé de tous les vices et de toutes les turpitudes, il réunit les types divers inventés chez nous, pour effrayer les enfants, amuser la populace, rendre muette l'attention des vielles femmes aux récits exagérées des veillées d'hiver, ou, dans les orages politiques, pour détourner la vigilance soupçonneuse des masses aux approches d'un coup d'État, ou bien encore pour alimenter cette source de folie originale, qui consitue bien souvent le mérite de nos hommes à la mode. Garagousse est l'Arlequin, le Paillasse, le Polichinelle, le Croquemitaine, le Barbe-Bleue, le Cartouche, le Mayeux, le Ro¬ bert-Macaire de l'Afrique septentrionale; mais avec ces qualités, il n'excite encore qu'une faible admiration chez les spectateurs; c'est comme modèle d'obscénité qu'il enleve tous les suffrages. Dans ce rôle, il produit en scène ce que le cynisme a de plus repoussant et de plus horrible; ses paroles, ses actions sont d'une crudité dégoûtante. Outra¬ geant la pudeur et la nature, il parodie jusqu'aux monstruosités attri¬ buées par la fable à Pasiphaë.“
(84) S. 375. Didron: iconographie chrétienne, Paris 1843, 4, p. 545. An der Stelle der Zeugungsglieder findet ſich auch ein Kopf, der die Zunge hervorblöckt. Uebrigens glaubten die Miniatur¬ maler des Mittelalters ein frommes Werk zu vollbringen, wenn ſie den Teufel recht ſcheußlich malten, weil ſie in ihrem frommen Wahn an¬ nahmen, daß er ſich darüber ärgere — und den Teufel zu ärgern, nun, es war doch immer einiges Verdienſt.
(85) S. 375. Auch in ſeinen ſämmtl. Werken VII.
(86) S. 375. Ueberſetzt im zweiten Theil von Tiecks Vor¬ ſchule Shakeſpeare's.
(87) S. 377. Ich beſitze von dieſer Tentation de St. Antoine Abbé einen großen Kupferſtich, den P. Picault geſtochen hat. Callot
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(82) S. 373. S. I. A. Märker: das Princip des Böſen
nach den Begriffen der Griechen, Berlin, 1842, S. 58 — 162.
S. 151 — 56. hat Märker das Häßliche, το α͗ισχϱον, im Unterſchiede
von und im Zuſammenhange mit ϰαϰον auseinandergeſetzt. Sehr wich¬
tig iſt die Stelle, die er über die σοφια aus Platons Hippias maj. 289,
B. beibringt: „τηνϰ αλλιστην παϱϑενον πϱος ϑεων γενος α͗ισχϱαν ε͗ιναι“,
ſofern nämlich die göttlichen Mächte, auch der Gerechtigkeit, als furcht¬
bar vorgeſtellt wurden.
(83) S. 374. Eine Abbildung des Schattenſpiels Kara-geuz
f. in der Illustration universelle, Paris 1846, N. 150., p. 301.
M. F. Mornand in ſeinen Souvenirs de voyage en Afrique ſagt von
dieſem Teufel: „Grotesque rèsumé de tous les vices et de toutes les
turpitudes, il réunit les types divers inventés chez nous, pour effrayer
les enfants, amuser la populace, rendre muette l'attention des vielles
femmes aux récits exagérées des veillées d'hiver, ou, dans les orages
politiques, pour détourner la vigilance soupçonneuse des masses aux
approches d'un coup d'État, ou bien encore pour alimenter cette source
de folie originale, qui consitue bien souvent le mérite de nos hommes
à la mode. Garagousse est l'Arlequin, le Paillasse, le Polichinelle,
le Croquemitaine, le Barbe-Bleue, le Cartouche, le Mayeux, le Ro¬
bert-Macaire de l'Afrique septentrionale; mais avec ces qualités, il
n'excite encore qu'une faible admiration chez les spectateurs; c'est comme
modèle d'obscénité qu'il enleve tous les suffrages. Dans ce rôle, il
produit en scène ce que le cynisme a de plus repoussant et de plus
horrible; ses paroles, ses actions sont d'une crudité dégoûtante. Outra¬
geant la pudeur et la nature, il parodie jusqu'aux monstruosités attri¬
buées par la fable à Pasiphaë.“
(84) S. 375. Didron: iconographie chrétienne, Paris 1843,
4, p. 545. An der Stelle der Zeugungsglieder findet ſich auch ein
Kopf, der die Zunge hervorblöckt. Uebrigens glaubten die Miniatur¬
maler des Mittelalters ein frommes Werk zu vollbringen, wenn ſie den
Teufel recht ſcheußlich malten, weil ſie in ihrem frommen Wahn an¬
nahmen, daß er ſich darüber ärgere — und den Teufel zu ärgern, nun,
es war doch immer einiges Verdienſt.
(85) S. 375. Auch in ſeinen ſämmtl. Werken VII.
(86) S. 375. Ueberſetzt im zweiten Theil von Tiecks Vor¬
ſchule Shakeſpeare's.
(87) S. 377. Ich beſitze von dieſer Tentation de St. Antoine
Abbé einen großen Kupferſtich, den P. Picault geſtochen hat. Callot
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Rosenkranz, Karl: Ästhetik des Häßlichen. Königsberg, 1853, S. 460. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/rosenkranz_aesthetik_1853/482>, abgerufen am 24.11.2024.
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